Muk Petr

Nom : Muk
Prénom : Petr
Age : 27 ans
Race : Humain
Classe : Voleur
Occupation : Brigand au service de Lawrence
Arme : Couteaux de lancer et parfois canne à pêche

Description Physique : Petr possède un physique que l’on pourrait qualifié de basique. Il ressemble à cet individu qui marche dans la rue sans que personne ne s’en rende compte. De taille moyenne et de poids moyen, 1m70 pour 70kg, il a deux yeux, plusieurs cheveux, un nez, une bouche, deux bras, deux jambes, un nombril, la seule chose qui lui manque est sa main droite. Il se pare généralement d’une ample cape, d’une chemise confortable et d’un pantalon léger afin de résister à la chaleur étouffante du désert.

Description Mentale : Plutôt renfermé, il n’est pas pour autant asociale. Ayant beaucoup voyagé depuis qu’il a quitté le nid familial, il se repère facilement et sait se débrouiller. Malheureusement, depuis la perte de son bras, il a une certaine appréhension des grandes villes, préférant garder le reste de ses membres. De plus il se restreint à un régime draconien bannissant tout ce qui est pain de son assiette et préférant ces petites bêtes présentent dans le désert, les fourmis, dont le goût acidulé le met en appétit. Depuis sa rencontre avec Lawrence il est beaucoup plus enjoué, ravi d’avoir trouvé un endroit où dormir. Atteint de cyclothymie, il change d’humeur constamment, passant souvent de rêveur à colérique, on ne sait jamais comment il peut réagir.

Famille (facultatif) : Originaire d’Ossédien. Son père est pêcheur et sa mère fait très bien la cuisine. Un jour, Petr alla acheter du pain au marché, depuis il n’est plus jamais rentré chez lui.

Lieu de départ : Delebois

Test RP :

Se baladant dans les rues de Vénarie, après avoir visité toutes sortes de villes, Petr ne pu s’empêcher d’admirer les façades des maisons, les étals des vendeurs toutes remplis d’objets plus insolites les uns que les autres. S’arrêtant devant un stand présentant un étalage de produits boulanger dont l’odeur lui mettait l’eau à la bouche. Il se pencha vers une brioche affriolante en demandant son prix au vendeur qui était occupé à servir un riche aristocrate. Répétant plusieurs fois sa question sans pour autant obtenir une réponse il décida de s’en aller voir ailleurs. Continuant son chemin, il se fit doubler par un homme encapuchonné courant à vive allure avec un air pour le moins suspect. Il entendit crier et se retournant il vit le boulanger grimaçant le pointer du doigt.

"C’est lui, ne cessait il de crier. Arrêtez ce voleur."

Suivit d’un groupe de gardes avec un air pas très commode. N’ayant pas un esprit très vif, il comprit qu’on l’accusait d’un vol que lorsque les gardes arrivèrent à dix mètres de lui. Prenant ses jambes à son cou, il s’élança dans une course effrénée renversant passants et livreurs sur son passage. Malheureusement une vieille dame à l’air patriote se mit en travers de son chemin d’un air décidé. Ne l’ayant pas vu Petr ne pu éviter une collision, il la renversa de plein fouet. Il se releva difficilement en somnolant. La foule se pressa autour de lui, l’enserrant de toute part, dans un dernier espoir il se rua sur ceux qui l’empêchaient de fuir. Il se sentit soulever de terre par un colosse.

"On s’excuse au près des dames lorsqu’on les bouscule !"

Celui-ci le reposa à terre et Petr n’eu d’autre choix que d’aider la petite vieille dame à se relever.

"Je vous demande pardon."

Il eu à peine le temps de prononcer cette courte phrase qu’il fut encerclé par des gardes et assommé pour ne pas « faire obstruction à la justice ». Il se réveilla dans un cachot miteux avec pour seul nourriture du pain et un pichet d’eau vide. Il passa sa journée à observer les jeux d’ombres que faisait le soleil sur les murs, par moment il se rappelait son enfance et ses voyages d’un air mélancolique, se disant que s’il n’avait pas quitté la cabane de pêche de son père il n’en serrait pas là. Après un certain temps d’attente on vint lui annoncé qu’il avait bénéficié d’un procès équitable et que le verdict, suite à l’intervention de la vieille dame, avait été rendu sans qu’on eu besoin de le déplacer.

Le lendemain il perdit sa main droite, pour vol.