Nom : Fuineion
Prénom : Fëanor
Age : 124 ans
Race : Elfe
Classe : Assassin
Occupation : Assassin au service d'une famille noble d'Inandil
Arme : Arc, couteaux.
Description Physique :
Fëanor est plus petit que la plupart des elfes de son âge et à une silhouette très fine. Ses cheveux sont naturellement verts, ses yeux lancent un regard tranchant et sont visage légèrement féminin, assez pour semer le doute sur son genre. Quand il est avec les siens ou dans la forêt, il porte des vêtements verts pour se fondre dans les arbres et les plantes. Bien qu’il semble chétif, il est capable de faire des bonds impressionnants, et se déplace en se faufilant avec grâce dans un silence perturbant.
Description Mentale :
Il pense que si la mort d’une personne peut sauver la vie d’une centaine, d’un millier d’autres ou évité des guerres sans fin, alors ce choix doit être pris. Depuis tout petit on lui à enseigner ce crédo et il l’approuve et le respect. Bien sûr le plaisir de la chasse est en lui, mais chaque vie enlever doit être nécessaire, il ne tue pas par plaisir mais par devoir. Il a voué son existence à l’assassinat et sa foie est inébranlable, mais il respecte la plus part des êtres vivants. Il aime jouer avec les animaux de la forêt entre deux missions.
Famille :
La seule famille qu’il connaît sont ses confrères assassins et son maître qui l’a entrainé et lui donne les ordres.
Lieu de départ : Inandil
Test RP :
Il y a de nombreuses années, Fëanor effectuait une de ses premières missions. Cela faisait déjà plusieurs jours qu’il guettait ce campement de soldats humains qui s’était beaucoup trop approché de la forêt. Cacher dans son arbre, il avait appris, plein de choses sur les habitudes de ses hommes et leur mission. Pas assez pour représenter une menace ils avaient pour rôle de recueillir des informations sur la zone dans le but d’y amener une plus grande armée par la suite. Leur chef était très prudent, toujours accompagner, ne s’éloignait jamais assez long temps du coffre ou était contenu les informations et gardait toujours les clefs sur lui. Le messager chargé de transporter les informations devait partir le lendemain à l’aube, c’est la dernière nuit pour agir. Rampant dans les hautes herbes pour s’approcher du premier garde, il saisit un couteau de lancer engainé dans son plastron en cuir. Le garde était ici depuis un bon moment et semblait s’assoupir légèrement, Fëanor profita donc l’occasion pour bondir sur lui silencieusement, tout en saisissant sa bouche d’une main et l’égorgeant en un éclair de l’autre. Maintenant il fallait agir vite, se déplaçant le plus rapidement possible, vers la tente où dormait le comandant, il fit une petite fente dans la tente juste assez grande pour s’y faufiler, roula près de la couche du chef et y planta un poignard. Mais dans un dernier reflex, cette grosse brute laissa échapper un dernier mot à moitié étouffé par le coussin que Fëanor appuyait sur sa tête.
« gaaarde »
Fëanor arracha la clef autour du cou du commandant, et se précipita ver le coffre. Un garde pointait déjà son nez à l’entrée de la tente, mais l’obscurité ne jouait pas en sa faveur. Pas le temps d’ouvrir le coffre, il le saisi donc et reparti par la déchirure de la tente juste avant que les autres gardes n’arrivent pour constater le tableau funeste. Le coffre était encombrant, et il devait se déplacer au fur et à mesure en se cachant derrière les caisses en bois et les tonneaux de vinasse. Des gardes étaient déjà sur ses traces suivant les lourdes empreintes qu’il laissa au sol à cause du coffre. Les gardes le rattrapèrent a l’entrée de la forêt, mais une fois sur son terrain c’était trop tard, grimpant comme un écureuil dans un arbre et ce déplaçant de branche en branche il sema tous les gardes en quelques minutes.
Quelques jours plus tard Fëanor et Wik, son ami écureuil, jouai à leurs jeux favoris « devine ou j’ai caché mon gland », bien que Fëanor gagnait la plus part de temps, il le laissait gagner de temps en temps pour ne pas blesser sa fierté.
« Pourquoi ses humains s’entêtent a conquérir, ils ne sont pas capable d’apprécier ce qu’il on déjà ? »
Wik couina quelques choses que Fëanor interprétait à sa manière.
« Tu penses vraiment qu’ils sont tous comme ça ? Enfin dans ces documents, plus part de parlais que tuerie, et d’agent qu’il compta tiré de cette forêt »
Wik couina d’un air désopilé.
« Oui tu as raison on verra bien »