Kaylis

Nom : Myr
Prénom : Kaylis Akkarin
Age : 125 ans,environ
Race : Elfe
Classe : Mage
Occupation : Mage au service de l'armée
Arme :Un bâton de mage

Description Physique :

Spoiler:

Je suis souvent en robe de magicien, avec mon bâton, mon vêtement est ample, ce qui me permet (a l'occasion) de m'enfuir le plus vite possible... Mais mes habits sont aussi couvert de runes elfiques servant à me rapeler un sort que j'aurais oublié. Lorsque je met ma capuche un voile d'ombre plonge mon visage dans les ténèbres. Seul mes yeux vert sont alors visible. Mes habits sont presque tous noir, sauf certaines reliures dorées. Mes bottes me permettent de courir sans trop me fatiguer. Une ceinture de cuire avec une boucle en argent pour maintenir le tout. Mais je ne suis pas tout le temps comme sa , lorsque je revet ces habits c'est sur un champs de bataille. Pour me promenner ou dans une ville sûr je suis en tenus légère, on peut voir mon visage aux traits fin,mes cheveux d'or et mes yeux vert émeraude. Un gilet léger vert aussi, des bottes en cuir me permettant d'être agile et est enchanté pour éviter d'avoir mal au pied si je marche pendant de longues distances, je sais que sa parait stupide mais c'est très utile... J'ai un collier en or, purement décoratif.

Description Mentale : D'abord je détestais la guerre, lors de mes premières années guerrières notamment lorsque j'étais dans la piétaille. J'aime énormément les livres et j'ai horreur que quelqu'un en âbime un ou ne serrais qu'en corner une page. Aussi stupide que cela peut vous paraitre, je tien énormement au moindre de mes cheveux. Bien évidement étant un Elfe je pense surtout a protéger les arbres et les petits oiseaux... Que dire d'autre... Je suis un peux rencunié. Je préfère être dans une bibliothèque plutôt que dans un champs de bataille, mais comme il n'y a pas le choix. Bah oui il y a des chances que ces rustres d'Humains fassent brûler la grande bibliothèque , et sa jamais je ne le permeterais, pas tant que je serais vivant en tout cas... Généralement quand je passe quelque part les autres Elfes ne me lancent même pas un regard, la plus part des gens sont dérouté par le fait de rester des heures voir des journées entières dans les livres et les parchemins. Je suis le plus souvent silencieux. Mais il m'arrive de m'amuser en faisant quelques farces grâce a ma magie.
Famille (facultatif) :
Lieu de départ :La citée Mère.
Test RP : J'étais jeune, et je tombas dans les griffes de la guerre. J'habitais la plus grande forêt Elfique, Druaga. La première bataille me laissa un gout amer, je regardas autour de moi et tomba a genoux, mes armes à terre, je contemplais ce charnier. Comment une telle boucherie avait-elle eut lieux ? Mes compagnons gisaient a terre, le sol était tellement couvert de sang que quasiment rouge. On pouvait voir des flaques d'hémoglobines un peu partout. Je restas comme celà pendant un long moment avant guerrier au visage rude me mit la main sur l'épaule.

-Allez mon bonhomme on va y aller. Malheureusement tu ferais mieux de t'y habituer, c'est la première mais surement pas la dernière...

Je n'oublirais jamais ces paroles. Cette nuit là il me fut impossible de fermer l'oeuil. J'avais beau pousser les souvenirs des visages d'humains et d'Elfs agonisants,me supliant d'abréger leurs souffrances, ils revenaient toujours a l'assaut... Pour le reste de la guerre je ne vais pas vous mentir ou vous illusionner en vous racontant que j'étais un guerrier hors-pair et que je tuais des humains dix par dix. J'étais d'une bonne extraction et j'eus vite droit à un cheval. Et bien oui, si j'ai survécu si longtemps c'est parce que j'étais un éclaireur. Je faisais tout pour me tenir éloigné de ces carnages qu'étaient les champs de batailles. Mais je ne me sentais pas à ma place. Une mission me fut atribué à moi et mon équipe, découvrir ou était le camp Humain. Alors que l'on traversa la forêt, tout alla très vite, une flèche ce planta à l'arrière de mon cheval et j'ordonna le replie. Mon cheval tint bon jusqu'à environ quatre-cents mètres du camp Elfique. J'habrégea les soufrances de la pauvre bête et j'esseyas de faire abstraction de la terrible douleur que j'avais dans la jambe. Après une doulourese heure, j'arrive a mon camp. Mon équipe était saine et sauf. Puis ils m'envoyèrent a la capitale pour être soigné. La bataille se déroullerait sans moi... C'est quand j'étais encore convalescent que j'appris la nouvelle de notre défaite. Un profond sentiment de rage me pris les entrailles. Mes talents guerriers étaient médiocre et quasiment inexistant. Mon talent à l'équitation était au même niveau. Il me réstai plus qu'une solution pour aider mon peuple, la magie.

Je profitas de la paix pour apprendre la magie. Je me tournas vers la magie guerrière, contrôler les éléments ne m'intéréssaient pas tellement. Environ trois a quatre années me fut nécessaire pour maîtriser ma magie. Mais je continuais pour apprendre encore de nombreux sorts et les perféctionner. Puis je me reposas et m'amusa jusqu'au jour ou la guerre refit surface. On m'envoya au front quelques jours après la déclaration. Mon but était simple, tuer les chimères avant qu'elles ne fassent pas de trop gros dégâts dans nos rangs.